Journée Mondiale pour un internet plus sûr : Lire les cinq conseils pour une bonne hygiène numérique

Les risques liés à la navigation sur internet se sont multipliés avec le développement des usages numériques. Dans ce cadre, à l’occasion de la Journée Mondiale pour un internet plus sûr, encore appelée «Safer Internet Day», célébrée chaque 8 février, plusieurs activités ont été menées.

Profitant de cette journée, la Ministre du numérique et de la digitalisation au Bénin a donné cinq conseils à la population pour une bonne hygiène numérique. Le premier est d’inviter la population à l’utilisation des mots de passe différents pour les plateformes que vous utilisez. Le deuxième est de changer régulièrement ses mots de passe. Le troisième est d’éviter les réseaux Wi-Fi publics ou inconnus. Le quatrième conseil est de faire attention à ce que vous publiez sur les réseaux sociaux et enfin, le dernier conseil est de faire très attention aux périphériques USB.

Célébrée depuis 2004, cette journée mondiale est d’origine anglo-saxonne et elle se nomme au départ «Safer Internet Day». L’objectif 2022 de cette journée s’intéresse particulièrement aux chères têtes blondes (ou brune, ou autres, …). Et le thème de cette édition est «Enfants connectés, tous concernés ! »

En effet, l’interpellation des jeunes internautes et de leurs familles sur les droits, les devoirs et les responsabilités des internautes en ligne reste bien entendu une priorité absolue. Les enfants et les adolescents ne maîtrisent pas toutes les règles de base sur internet et se mettent facilement en danger dans leur utilisation des réseaux sociaux, messageries, sites de jeux et autres sites marchands.

De ce fait, pour un internet plus sûr, ils doivent adopter tous des comportements responsables en respectant les conseils. C’est d’ailleurs dans cette optique que l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI) a élaboré le Livre Blanc qui se veut un recueil de bonnes pratiques minimales et surtout faciles à respecter en vue de sensibiliser les citoyens sur les meilleures pratiques à adopter de façon individuelle.

Patrice ADJAHO