Célébration de la JIF 2024 : Les femmes du “creuset des Agonlinous” outillées sur l’infidélité en couple

Réunir en différé, les femmes du creuset des Agonlinous ont sacrifié à la tradition de la célébration de la Journée internationale de la Femme (JIF). Cette journée qui s’avère être une journée de réflexion a permis à ces dernières de mener une causerie sur le thème “l’infidélité dans les couples : causes, conséquences et approches de solutions”.

Il était question pour elles d’évoquer les raisons qui peuvent pousser à l’infidélité dans le couple, les conséquences qui y sont liées, l’implication des familles respectives, et surtout les astuces à mettre en pratique pour ramener le bonheur dans chaque couple. Faut-il le notifier, cette causerie animée par  Valentine Anago, secrétaire générale adjointe dudit creuset a été l’élément d’envergure de cette rencontre. A plus forte raison, chacun des membres dudit creuset se dit prêt à redonner une autre tournure à son couple pour le rayonnement de celui-ci.

Dans cette même logique, Séraphine Dossou, Chargée des affaires féminines au sein du creuset a affirmé qu’il n’y a pas meilleur personne que la femme “pour pouvoir ramener nos sœurs, mères, amies à prendre des décisions meilleures pour leurs vies”. Et pour autant, “cette journée nous en donne l’occasion de nous retrouver au-delà de nos fora pour discuter de notre avenir” a-t-elle fait savoir.

En outre, le président du creuset Dah Adjibodô Egbidilo à l’état civil Alexandre Egbidilo a fait remarquer l’implication des hommes dans cette journée. Selon lui, “il n’y a pas meilleure manière de célébrer les femmes sans les hommes”. “Et si nous sommes là, nous devons encourager de telles initiatives”, a-t-il ajouté. Il finit, toutefois ces propos par un message d’espérance en prélude de la célébration du JIF 2025. “C’est la 4eme édition et nous avons espoir qu’à la 5e édition nous aurons plus de mobilisation en ressources humaines que financières” a-t-il martelé.

Pour rappel, cette rencontre s’est soldée par un festin ainsi que des pas de danses. Et ce dans la convivialité entre ces femmes qui forment ce creuset.

Patrice ADJAHO