Concours des Meilleures Productions de Presse sur la Coopération Sino-Béninoise : Abdul Fataï Sanni et Blaise Adankpo honorés

Le 23 décembre 2024, l’Ambassade de Chine près le Bénin a honoré deux journalistes d’exception, Abdul Fataï Sanni et Blaise Adankpo, pour leurs œuvres qui captent l’essence d’une coopération sino-béninoise florissante dans le domaine du sport. Cette cérémonie, organisée dans le cadre de la 3e édition du Concours des Meilleures Productions de Presse sur la Coopération Sino-Béninoise, a révélé les histoires inspirantes d’une collaboration qui va bien au-delà des terrains de jeu.

Abdul Fataï Sanni : Une Plongée Audacieuse dans l’Impact de la Coopération Sportive

Abdul Fataï Sanni, journaliste du quotidien La Nation, a remporté le prix pour son article « Coopération sino-béninoise dans le domaine du sport : Un précieux partenariat en progression ».  À travers des récits vivants et des témoignages de figures clés, tels que Ferdinand Sounou, ancien président de la Fédération béninoise de tennis de table, et le Secrétaire général de la Fédération béninoise de wushu, l’article met en relief l’impact décisif de la Chine dans le développement sportif au Bénin.

De l’installation d’équipements modernes à la formation des encadreurs en passant par le rayonnement international de disciplines méconnues, Abdul Fataï Sanni esquisse une dynamique prometteuse de diplomatie sportive. Dans son discours de remerciement, le lauréat a salué l’appui de ses collègues de l’ONIP et de ses lecteurs fidèles, tout en soulignant la nécessité de valoriser davantage les initiatives sino-béninoises. “Ce prix marque un tournant dans mon parcours, mais surtout l’ouverture vers de nouveaux défis,” a-t-il affirmé. Cette distinction consacre non seulement son talent, mais aussi son engagement indéfectible en faveur du journalisme constructif.

Blaise Adankpo : Le Wushu, une Passion Partagée entre la Chine et le Bénin

C’est Blaise Adankpo, journaliste à la SRTB, qui a remporté le premier prix avec son reportage « Sport Amitié sino-béninoise : Le Wushu, un art martial chinois en pleine expansion au Bénin ». Dans une narration riche et émouvante, Adankpo dévoile le développement spectaculaire du wushu, un art martial chinois, au Bénin. Grâce à l’impulsion de l’Ambassade de Chine et du Centre Culturel Chinois, le wushu a transcendé les frontières pour devenir un vecteur de rapprochement culturel, offrant aux Béninois une nouvelle perspective sur la discipline et ses valeurs de discipline, de respect et de fraternité. Le reportage illustre la manière dont ce sport est bien plus qu’un simple jeu : il incarne une véritable école de vie, un moyen pour les jeunes béninois de découvrir un nouveau monde tout en renforçant les liens entre les deux nations. « Le wushu est devenu un outil de transformation personnelle et sociale, un véritable pont entre la Chine et le Bénin », a souligné Adankpo lors de la remise de son prix. Sa vision percutante du sport en tant que médiateur culturel a été saluée par le jury.

Une Célébration du Pouvoir du Sport dans la Diplomatie Internationale

Les deux journalistes ont su, chacun à leur manière, capturer l’essence de ce que la coopération sino-béninoise peut accomplir dans le domaine du sport. Ces prix ne sont pas simplement une reconnaissance de l’excellence journalistique, mais aussi un témoignage de l’impact profond de la diplomatie sportive. Dans un monde où les relations internationales sont parfois complexes, le sport se présente comme un langage universel capable de tisser des liens durables et constructifs.

La cérémonie du 23 décembre a été bien plus qu’une simple remise de prix ; elle a été un hommage vibrant à l’esprit de coopération, de croissance mutuelle et de respect entre la Chine et le Bénin. Les récits d’Abdul Fataï Sanni et Blaise Adankpo, tous deux mmebres de l’Association de la Presse Sportive du Bénin (APS-Bénin) démontrent que, grâce à l’engagement sportif, des ponts solides peuvent être bâtis entre les peuples, transformant les défis en opportunités et les divergences en succès partagés.

La Rédaction