Kotun Djougou : Shekaru biyu a kurkuku ga mai fataucin hauren giwa

Deux ans d’emprisonnement ferme, 500.000 FCFA d’amende et 2000.000 FCFA de dommages et intérêts au profit de l’État béninois. C’est la décision rendue par le tribunal de Djougou, condamnant un trafiquant d’ivoires. Lallai, les faits remontent à 2019 dans la ville de Djougou où le condamné a été pris en flagrant délit de commercialisation de trois pointes d’ivoires. Une décision en respect aux lois du Bénin qui stipule que nul n’a le droit de toucher à cette espèce. Mota, il est protégé au Bénin par la loi n°2002-16 du 18 Oktoba 2004 portant régime de la faune en République du Bénin et de son texte d’application. Hakanan, l’article 154 de cette loi punit d’une amende de 300 000 a 800 000F et/ou d’un emprisonnement de 6 mois à 5 ans quiconque importe, exporte, réexporte ou commercialise des animaux sauvages ou leurs trophées et dépouilles en dehors des cas permis. La justice est donc fermement engagée pour la lutte contre la criminalité faunique au Bénin. A en croire matin libre, La CITES et d’autres conventions que le Bénin a ratifiées protègent les éléphants.

Patrice ADJAHO