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Shan miyagun kwayoyi da shaye-shaye : Hatsari

 Shan miyagun kwayoyi da shaye-shaye : Hatsari

Ana ƙara samun ci gaba da shan abubuwa masu guba ɗaya ko fiye a tsakanin matasa. Cin zarafi wanda ba shi da sakamako ga masu neman jin daɗi.

Lallai, bisa ga binciken Wisevoter, akwai kasashen da ake da karancin masu shan taba. Dans ce registre, il y a des pays comme le Ghana, le Nigeria, Benin da Togo, selon Afrique sur 7. Ce classement doit encore pousser les autorités à travailler au Bénin pour que le taux diminue plus.

Kuma saboda kyawawan dalilai, la toxicomanie chez les jeunes est aujourd’hui une réalité et devient très fréquente chez ces derniers. Elle est due selon les spécialistes à la recherche de plaisir mais, aussi, elle est occasionnée par l’anxiété, les traumatismes, les problèmes relationnels et désormais par l’envie de faire comme les autres. Drogue, alcool, cocaïne, chanvre et plusieurs autres substances sont ainsi consommées par ces jeunes exposant ainsi leur vie.

 « Il n’est plus rare de voir de jeunes gens dans la rue ou dans des endroits spécifiques en train de consommer des produits nuisibles à leur santé. Cigarette, alcool et même certaines drogues sont de plus en plus une nécessité pour eux. En groupe ou seul, ils s’adonnent librement à cette pratique » fait savoir Clément Hounguè Vice-président d’une organisation de lutte contre la toxicomanie. Ce dernier est rejoint dans sa réflexion par la jeune activiste Belvine K. qui affirme avec désolation « Le sujet est très touchant et inquiétant. Yau, nombreux sont ces jeunes qui sont des toxicomanes. Tsawon tsayi, les jeunes filles ne sont pas inquiétées elles s’y adonnent sans gêne ». Pour cette éveilleuse de conscience « Les enjeux du plaisir sont en train de prendre le dessus sur les valeurs humaines. Pour des raisons diverses chacun se lance dans la consommation d’une substance toxique sans penser au préalable aux dangers ».

C’est aussi le cas des produits énergétiques

Certaines personnes s’adonnent aussi à la consommation des produits énergisants (Boissons, comprimés, sirops, ces produits se présentent sous plusieurs formes) pour diverses raisons dans l’optique de se donner une nouvelle force physique. Les plus abonnés sont les personnes exerçant des activités nécessitant une certaine énergie. Ceux-là qui travaillent à longueur de journée notamment les conducteurs de Taxi-moto ne sont pas en marge de cette pratique. C’est le cas de Jérôme un conducteur de taxi-moto. Comme ses compères, ce jeune adulte fait escale dans un petit coin où il a l’habitude de prendre son petit déjeuner avant de commencer sa journée de travail. « Je viens ici tous les matins pour prendre du thé », fais savoir l’homme dont la silhouette est semblable à celle d’un jeune homme de 30 shekaru. La particularité de ce que ce dernier fait appeler ” Thé ” est toute une autre composante qui sort de l’entendement. Il s’agit d’un thé auquel il y ajoute un produit en poudre qu’il sort d’un emballage sur lequel on lit ” énergie “. « J’ai compris qu’il faut renforcer ces capacités avant de démarrer la journée. Pour ne pas être fatigué au bout de quelques heures de travail, je mélange ce produit avec du thé. Ce qui me donne la garantie de terminer ma journée de travail sans se fatiguer», explique ce dernier confiant sur l’efficacité du produit. Il n’est pas le seul à fréquenter ces endroits de fortune. En une dizaine de minute, le petit hangar se voit remplir par de jeunes hommes, pour la plupart des conducteurs de Taxi-moto mais aussi quelques ouvriers dont Gaston un maçon. Après la lourde journée de travail de la veille, le jeune homme encore badigeonné de ciment est venu faire le rituel quotidien. La différence chez lui, le mélange est particulier, d’autres substances sont ajoutées au thé préférentiel qui lui est remis. « Pour le travail que je fais, j’ai besoin de beaucoup plus de force », dit-il avec fierté et ajoute sourire aux lèvres en expliquant que « le conducteur de taxi-moto n’a pas besoin de la même Energie que celui qui prends des charges lourdes, de même pour le camionneur. Chacun à une idée de la force dont il a besoin ».

La consommation de ces produits énergisants ne concerne pas uniquement cette catégorie. Certains jeunes bien que ne pratiquant pas une activité lourde prennent aussi goût. Pour la majeure partie d’entre eux, il s’agit des boissons. Ta haka, ces derniers profitant du besoin de désaltération ne manquent pas de prendre de telles boissons. Pour certains, ils sont conscients de l’apport de ces produits mais d’autres n’en savent même pas l’utilité. « Je prends souvent des énergisants mais j’avoue que c’est sans connaitre leurs effets. Pour moi c’est juste pour étancher ma soif », laisse entendre Patrick. Les femmes sont aussi concernées par la prise desdits produits. Pour la plupart, c’est du retour d’une journée laborieuse au marché ou dans un atelier. Celles-là ont une préférence, ce sont les comprimés non prescrits par un médecin. « Il m’arrive de prendre des comprimés qui ont un pouvoir énergisant quand je rentre du marché. Cela me permet de récupérer avant la nouvelle mâtinée » dit Viviane une vendeuse de céréale

Hatsari

La dépendance, la surdose, les accidents, les dommages physiques et psychologiques sont entre autres quelques conséquences liées à la toxicomanie. Kara, ces maux ne sont pas pour la plupart connus chez les toxicomanes. « La consommation de stupéfiants toxiques détruit progressivement ceux-là qui s’y adonnent mais, qui pour la plupart ignorent les dangers auxquels ils seront confrontés dans l’avenir », indique un toxicologue qui propose « les autorités sanitaires doivent prendre la situation au sérieux et mettre tout en place afin que nous ayons moins de jeune toxicomane. Le phénomène rentre déjà dans nos écoles. Il faut beaucoup de sensibilisation et de conscientisation. Les bars et boites de nuits qui sont aujourd’hui les réceptacles de ces jeunes doivent aussi être associés dans cette lutte ».

Rubutawa

Labarai iri daya