Fadakarwa kan Nono ga Mata: Ong Appel yana buga maki

Dans le cadre de la deuxième édition de GénéRose, l’Association pour la promotion de l’excellence et des littératures (Appel) a initié une séance de sensibilisation sur le cancer du sein. Occasion pour les participantes de s’imprégner de l’importance du dépistage du cancer de seins.

«Le cancer du sein est une maladie grave», ainsi s’exprimait Razaki Moustapha, gynécologue obstétricien dans sa communication. Il a fait observer qu’il s’agit du deuxième cancer à fort taux mortalité de la femme dans la plupart des pays en voie de développement. Ya kuma yi amfani da damar don nuna jin daɗinsa ga Wémènou gabaɗaya da kuma haɗin kai na Wémèxwé., cette maladie est fréquente dans les pays en mode de vie occidentale où il est la première cause de mortalité de la femme entre 35 kuma 55 shekaru. Il a précisé que la maladie n’épargne pas la gente masculine. A cewarsa, on s’accentue sur le cancer du sein des femmes alors que celui des hommes ne pardonne pas.

«La prévention passe par le dépistage, l’autopalpation, la consultation d’un médecin dès qu’il y a le moindre signe d’alarme. Un dépistage fait précocement permet une prise en charge correcte et améliore le taux de survie de la maladie», dira pour sa part, Ghislain Zounon, Chirurgien généraliste en spécialisation. Il a laissé entendre que la prise en charge du cancer du sein coûte chère et est compliquée.

«Ce n’est pas seulement le cancer des seins qui sévit. Les cancers ont pratiquement les mêmes facteurs de risque, les mêmes causes donc il faut non seulement se surveiller et il faut prendre le temps tout au moins de consulter le médecin ne serait-ce qu’une seule fois ou deux fois par an», a ajouté Yrédée Challa, présidente de l’ONG Appel qui a exhorté les participantes à sensibiliser à leur tour leur entourage.

Patrice ADJAHO