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Sabbin ka'idoji don gudanar da wuraren jam'iyya : Encore 9 watanni don yin biyayya

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Ils ont encore neuf mois pour se conformer à la nouvelle réglementation d’ouverture et d’exploitation des lieux de réjouissances. Il s’agit des promoteurs des salles de fête.

Lallai, face à la prolifération des salles de fête dans tous les coins de rue sans respect des normes et dont l’exploitation se fait au mépris de la règlementation sur le bruit, le gouvernement a sifflé la fin de la récréation. Le mercredi 29 Nuwamba 2023, le gouvernement lors de son conclave hebdomadaire a pris un décret fixant les conditions à remplir et les formalités à accomplir en vue de l’obtention de l’autorisation d’ouverture et d’exploitation requise pour l’ouverture et l’exploitation de salles de fête.

Il est écrit noir sur blanc dans le relevé du Conseil des Ministres du mercredi 29 Nuwamba 2023 : « Le présent décret fixe donc les conditions à remplir et les formalités à accomplir en vue de l’obtention de l’autorisation d’ouverture et d’exploitation requise à cette fin. Celle-ci est affichée à l’entrée de la salle de fête. Les salles de fête doivent disposer de parkings dimensionnés en fonction de la capacité d’accueil et remplir les conditions d’hygiène et de salubrité telles que prescrites par les dispositions légales et règlementaires en vigueur sur l’hygiène publique en République du Bénin ». La mise en vigueur est cette décision est prévue pour compter du 29 Nuwamba 2024. Lallai, le gouvernement a donné un moratoire de 12 mois à tout exploitant d’une salle de fête à titre professionnel, déjà en activité, pour se conformer au nouveau décret. Trois mois après la prise de la décision et a neuf mois de son entrée en vigueur, la rédaction de votre journal fait le point des diligences faites par les intéressés pour une application sans heurte dudit décret.

Fortunes diverses rencontrent les promoteurs des salles de fête dans la quête de se mettre en phase avec la nouvelle réglementation. Joint par nos soins, certains promoteurs ont commencé par revoir leur dispositif pour ne pas être surpris par le temps. « C’est une obligation de s’y conformer. Shi ya sa, j’ai déjà pris mes dispositions. Je serai en règle avant la fin du moratoire », confie Jean Yves, promoteur de salle de fête à Calavi. À en croire Dame Christelle, il est vraiment compliqué au regard de sa localisation d’avoir un parking conséquent, mais, elle est dans les négociations pour acquérir un terrain à côté. « Je sais que c’est un décret à respecter coûte que coûte. Il urge de vite prendre les taureaux par les cornes », lâche-t-elle.

A wannan bangaren, d’autres promoteurs n’ont pas cette pression. Car ils ont tenu compte de certaines dispositions avant de construire. « Ici nous n’avons pas ce souci. Nous sommes déjà en règle avant que l’Etat ne fixe les nouvelles conditions à remplir et les formalités à accomplir en vue de l’obtention de l’autorisation d’ouverture et d’exploitation », se réjouit David, gérant d’un lieu de réjouissance. Ya kara da cewa : « Nous avons un parking d’une capacité d’accueil intéressante sans oublier les autres commodités surtout l’hygiène qui fait de nous la différence ».

Rendez-vous fin novembre 2024 pour faire la constatation.

Damien TOLOMISSI

Labarai iri daya