Booster Direba - Zazzage Kyauta don Windows 11, 10, 8, 7

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Saƙonnin murya: Hanyar da aka nuna godiya sosai

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Shekaru kadan, avec l’évolution technologique, de nouveaux modes de communications naissent selon les types de communication. Au nombre de ceci, on peut noter l’utilisation des notes vocales.

Utilisable par tous, les notes vocales ont la particularité de n’exclure aucune couche de la société, qu’elle soit instruite ou non. Cette nouvelle manière de communiquer avec autrui est donc entrée dans les habitudes de nombreuses personnes. C’est le cas de Nestor O. commerçant à Cotonou qui en langue locale (Minan) affirme que « Désormais les choses ont évolué, les personnes non instruites peuvent aussi faire usage des réseaux sociaux ».

« S’il y’a quelques années en arrière, la toile était réservée uniquement aux sachant aujourd’hui elle est ouverte à toutes personnes désireuses d’y être. Matasa, les plus concernés de cette utilisation pensent qu’elle facilite les échanges », c’est ce que fait savoir Maurice un étudiant. Il arrive, raconte-t-il « des moments où nous avons une sorte de paraisse à écrire et donc nous nous fions aux messages audio qui ne nécessitent pas vraiment d’effort ». Il trouve crédible ce mode de communication « Avec les notes vocales, on sait avec qui on discute réellement. Les textes écrits peuvent tromper mais avec la voix, on a une certitude sur l’identité de notre interlocuteur », souligne-t-il avant de faire savoir que « Même les personnes qui n’ont pas un meilleur niveau d’instruction peuvent s’en servir ».

Bien que ce mode de communication intéresse un certain nombre de personnes, des voix s’élèvent pour fustiger cela. D’aucun pense que cela réduit le niveau des utilisateurs notamment des élèves et étudiants. « Nos enfants n’ont pas pour la plupart un bon niveau de langue à l’écrit et avec les téléphones intelligents, ils ont l’opportunité de se corriger en utilisant le clavier, mais très peu le font avec l’apparition des notes vocales », fait savoir l’enseignant des lettres à la retraite, Grégoire. D’autres se plaignent du temps mis pour écouter une note. « Je mets peu de temps à lire un texte de 400 mots mais avec un audio de 8 minutes c’est compliqué » fait savoir Bob.

Ta haka, bien que les messages vocaux facilitent la communication en permettant à toutes personnes quoi qu’en soit son rang social de communiquer sur la toile, son utilisation n’est pas appréciée de tous.

Rubutawa

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