Booster Direba - Zazzage Kyauta don Windows 11, 10, 8, 7

Booster Direba: Sabuntawar kyauta don Windows 11/10. Sabunta direbobi don zane-zane, USB, audio, allo, hanyar sadarwa, printer, da linzamin kwamfuta da inganci.!
Samu shi yanzu kyauta !

Booster Direba Zazzagewar Direba Booster

Uwa daya : Mode ou destinée

 Uwa daya : Mode ou destinée

Être mère célibataire devient une situation récurrente dans la société actuelle. Il n’est pas difficile de rencontrer dans nos villes et contrées des femmes ou jeunes filles ayant des enfants mais se disant sans conjoint. Ce mode de vie est diversement apprécié.

Avoir un conjoint et fonder une famille est le désir de toute jeune fille. Un rêve souvent très tôt brisé par les péripéties de la vie de sorte qu’aujourd’hui, un grand nombre de jeunes femmes se retrouvent seules au foyer, avec des enfants à leur charge.

 Être mère célibataire n’est souvent pas la volonté de ces femmes mais les réalités de la vie les y obligent. Pour certaines comme Marlène do-Régo, la vingtaine environ et mère de deux enfants, la vie de mère célibataire s’impose à elles. « Bon nombre de jeunes filles ou de femmes ne sont pas mères célibataires par volonté. Certaines ont perdu leur conjoint et ont des difficultés à s’engager à nouveau. C’est mon cas particulièrement. Mon conjoint est décédé il y a un an alors que j’étais en état de grossesse. J’ai eu du mal à me remettre et après un an, me voilà dans un célibat forcé », ta fada. Cette jeune mère fait constater qu’être mère célibataire tend à devenir banal : « Les mères célibataires courent nos villes aujourd’hui. Il est vrai que chacune a ses raisons mais pour la plupart, elles le font par effet de mode ce qui est dommage ».

gaskiyani.info

Comme Marlène, Odette O. affirme que cette situation est devenue un mode pour les filles. "Yau, nos sœurs ne veulent plus rester dans des relations. Elles préfèrent avoir un, deux ou trois enfants puis rompre pour, comme elles le disent, faire la vie ». Eude, la quarantaine, a fait aussi le constat. Kara, pour lui, cette mode est plutôt « de la prostitution voilée ». Il fait toutefois constater qu’il y a parmi ces dernières, des jeunes dames qui ont vécu des situations compliquées comme la mort du conjoint et ont du mal à renouer avec la vie de couple. Elisabeth, A nata bangaren, attribue cette ampleur aux grossesses précoces et laisse entendre que « souvent, les grossesses non désirées sont à l’origine de cette situation ». Pour se justifier elle ajoute qu’« après être tombées de façon inattendue enceinte, bon nombres de jeunes filles se rendent compte qu’elles n’ont pas fait le bon choix et que le futur père de leur enfant n’est pas la bonne personne ». Sakamako, « elles se retrouvent plus tard en situation de mère célibataire ».

Firmin KASSAGA

Labarai iri daya