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JO TOKYO : Wasanni a cikin sabon salo !

 JO TOKYO : Wasanni a cikin sabon salo !

Da duk rashin daidaito, wasannin Olympics na bazara, An kaddamar da irinsa na 32 a hukumance da kuma karramawa, vendredi à Tokyo, la capitale du Japon. Et quelle cérémonie d’ouverture ! Une représentation dans la lignée des précédents jeux, mais surtout dans la lignée des jeux organisés en Asie. Kamar yadda in 1988 à Seoul, in 2008 à Pékin, la cérémonie de vendredi, 57 ans après les premiers jeux qu’elle a abrités, Tokyo, a une fois encore été à la hauteur de l’enjeu olympique, qui se veut être la vitrine de la célébration de l’humanisme et de la diversité. Ville emblématique de la puissance impériale nipponne, Tokyo a démontré qu’elle reste une place incontournable dans le système monde. Près de dix mille milliards de FCFA, engloutis dans ces jeux qui lui ont été attribués en septembre 2013. Le monde entier a pu mesurer le niveau d’exigence en terme de qualité des descendants de Meji. Tout a été réalisé dans une perfection et un chronométrage dignes de la culture japonaise. Pas la moindre seconde de retard ! L’on est simplement bluffé pour le plus grand événement sportif de la planète. Kuma, ce ne sont pas les 11090 athlètes venus des quatre coins du monde qui auront une opinion contraire.

Tokyo 2020, va rester dans les annales comme les jeux d’une nouvelle ère, celle de la parité. Il y a autant d’athlètes femmes que hommes. Une grande première qui voit enfin se traduire dans les actes une des valeurs chères au Comité International Olympique, CIO, l’égalité du genre. Une approche mis en lumière par le défilé mixte pour les porte-étandarts. Le Bénin n’a pas dérogé à la règle avec le tandem Nafissatou RADJI/Privel HINKANTI.

Tokyo 2020 va surtout rester dans les annales, comme les premiers jeux organisés à l’ère de la fameuse pandémie mondiale du coronavirus. Décalés d’un an, ces jeux portent invariablement ses stigmates, bouderie d’une bonne partie de l’opinion japonaise, absence du public et changement du slogan des jeux qui est : plus vite, plus haut, plus fort, ensemble. Rien que ça ! Et tenir ces jeux malgré le contexte est une victoire pour Thomas BACH, le président du CIO et le peuple de l’empire du soleil levant, représenté par son symbole vivant, l’empereur Nahurito. Que dire du symbole de celle qui a allumé la flamme olympique, Naomie OSAKA dans une société japonaise peu connue pour un tel métissage ? Et le Bénin prend sa part dans cette nouvelle dynamique sociétale nippone avec la star de la NBA, Rui HACHIMURA, l’un des porte-drapeau du Japon de mère japonaise et de père béninois.

Dans cette mutation de l’olympisme à l’occasion de la cérémonie officielle d’ouverture de ces jeux de Tokyo, la plus grande médaille décrochée par le Bénin, au-delà du sportif, c’est la présence et la prestation remarquées et remarquables de la diva Angélique KIDJO, malgré le deuil qui la frappe. Chapeau l’artiste !

Ouorou-gasashe Babero

Labarai iri daya