SKIRT 2024 : Ni'ima “tattaunawa maimakon adawa” Anselme G. Ya tafi

Da 21 septembre de chaque année, la communauté internationale marque une pause significative pour célébrer la Journée internationale de la paix (SKIRT) et ceci depuis 1999. La commémoration des noces d’argent de l’adoption par l’Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration et du Programme d’action sur une culture de la paix est une occasion pour tout artisan de paix de rappeler aux uns et aux autres les principes de base du vivre ensemble. Parmi ceux-ci figure Anselme Godonou Togbé. L’Ambassadeur de l’Association internationale des défenseurs de la paix mondiale (IAWPA), comme il a en l’habitude, a fait une adresse aux nations sur la nécessité de cultiver la nation de paix et du pardon.

Partant de la thématique retenue par les Nations Unies pour l’édition 2024, ”Promouvoir une culture de paix”, Anselme Godonou Togbé va exhorter chacun à adopter un principe bien connu mais souvent ignoré. La paix n’est pas “simplement l’absence de conflits mais un processus positif, dynamique et participatif”. Pour faire régner cet ordre divin, gage du vivre ensemble de l’humanité, l’ambassadeur de paix prône “tattaunawar, la compréhension mutuelle et la coopération” à travers “la négociation plutôt que de la confrontation”. Cette dernière notion rappelle-t-il est au cœur de la Déclaration de 1999 de l’Assemblée des nations unies.

En ce sens, la Journée internationale de la paix ne se limite pas à un appel à déposer les armes mais constitue une occasion pour chaque citoyen de prendre conscience de l’humanité partagée et de l’interdépendance des relations qui unissent les peuples. “Notre survie en tant que communauté mondiale en dépend”, supplie t-il. Au-delà, l’ambassadeur Anselme G. Togbé appelle à l’action individuelle. “Il n’y a rien de plus important et plus précieux que la paix et le pardon dans la vie”, confie, versets bibliques à l’appui, celui qui s’est fait le vœu de prôner la paix et le pardon. “Éloigne-toi du mal, et fais le bien; Recherche et poursuis la paix”, (Psaume 34:15).

Alors que le monde est en proie aux “conflits géopolitiques, interreligieux, ethniques, économiques etc, revenir aux fondements posés par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1999, avec une place de choix au respect de la vie, des droits de l’homme et de promotion d’une culture de non-violence est fondamental” estime-t-il dans son message empreint de solennité. Homme de foi, Anselme Godonou Togbé n’hésite pas à puiser son inspiration de l’épître de l’apôtre Paul aux Galates (5 :16-22) pour inviter chacun à cultiver le fruit de l’Esprit : « Aimer, faire la paix, être patient, être bon et bienveillant ». En tant qu’ambassadeur de l’IAWPA, une organisation présente dans 193 pays, Anselme Godonou Togbé vient une fois encore de porter la vision de l’association, qui est de contribuer à la paix mondiale par le dialogue et la communion entre les peuples.

A noter que l’IAWPA, dont Anselme Godonou Togbé est ambassadeur depuis juillet 2024, est composée de technocrates d’affaires, d’innovateurs, d’entrepreneurs sociaux et de professionnels unis par leur engagement en faveur des valeurs humaines et normes éthiques des Nations Unies.

Arnaud ACAQPO (Col)