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Kawar Dare, kwallon kafa kamar rayuwa !

 Kawar Dare, kwallon kafa kamar rayuwa !

Au sortir de la CAN 2019, très peu de personnes auraient parié sur l’absence du Bénin à l’édition suivante de la compétition phare de football du continent. Deux faits majeurs justifient cette posture. Le parcours convaincant de la sélection fanion, de la qualification face au Togo au quart de finale contre le Sénégal en passant par les matchs de préparation et le sort qui a gracieusement positionné le Bénin dans un groupe taillé à sa mesure, le Nigéria, mais surtout le Lesotho, jamais qualifié à une CAN, et la Sierra-Leone dont les belles années remontent à la décennie 90. Au surplus, le challenge qui se présentait au onze national, est de bousculer notre géant voisin dans ses certitudes, avec son nouveau statut depetite terreur des grandsdu continent et commencer à inverser le cours de l’histoire qui est nettement à l’avantage des Super Eagles. Et qui pouvait trouver farfelu, un tel objectif ? Qui ? Au vu du contexte vraiment favorable au Bénin.

Sauf que deux ans après, c’est la désillusion totale, avec une élimination sans gloire, qui fait redouter le pire, la descente aux enfers à un moment où tout est mis en œuvre par les pouvoirs publics pour lancer durablement la croissance soutenue du football dans le pays. Les certitudes nées de la CAN ont progressivement laissé place à des interrogations. Des joueurs cadres sur la fin, une relève peu visible, des performances à la baisse, des buts qui se raréfient, trois petits buts marqués sur toute la campagne des éliminatoires, le capitaine long cours Stéphane SESSEGNON, qui sans crier gare, semble quitter le navire, à cœur ou à contre cœur ? Difficile de s’avancer là dessus. A wannan lokacin, les options manageuriales sur les derniers développements autour de la vie de l’équipe soulèvent plus de questionnements. La liste des signaux peu rassurants vous le constatez est longue et n’incite pas à l’optimisme si rien n’est fait au niveau de chaque maillon de la chaîne Écureuils pour corriger le tir. Il faut une vraie remise en cause de la dynamique en cours, dans une approche cartésienne sans poncepilatisme et sans nombrilisme pour espérer relancer la machine grippée de l’équipe fanion de notre pays. Le football,phénomène de société repose à la fois sur les normes sociales et sociétales dont il ne peut se soustraire, tel le décret de la vie.

Que les principaux concernés par cette berezzina s’approprient cette loi implacable, et qu’ils se mirent dans la glace pour nous sortir de cette impasse de mauvais goût.

Ouorou-Asso BABERI

Labarai iri daya