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Dr Philippe N’DRI, président du RAFPRO en visite au Bénin : « Nous souhaitons développer les compétences…»

 Dr Philippe N’DRI, président du RAFPRO en visite au Bénin : « Nous souhaitons développer les compétences…»

Le secrétaire général du Fonds de Développement de la Formation Professionnelle (FDFP) de la Côte d’Ivoire et président du Réseau Africain des Fonds de Formation Professionnelle (RAFPRO), Dr Philippe N’DRIa du 11 a 14 Disambar bara, séjourné à Cotonou. Occasion pour lui de visiter le siège du RAFPRO à Cotonou et de tenir plusieurs séances de travail avec les parties prenantes. A cikin wannan hirar, il fait le point de sa visite au Bénin. Il a par ailleurs levé un coin de voile sur les prérogatives de RAFPRO. Karanta maimakon !!!

Vous êtes actuellement en visite au Bénin. Avant d’aborder les raisons de votre déplacement, pouvez-vous nous expliquer ce qu’est le RAFPRO ?

Le RAFPRO est une association, un réseau qui regroupe un ensemble de fonds et d’institutions œuvrant dans le domaine du financement et de la formation professionnelle, principalement en Afrique et dans la sous-région. À ce jour, le réseau couvre 12 pays et compte 13 fonds et institutions membres. I mana, nous aspirons à élargir ce cercle en intégrant d’autres fonds et institutions africains, dans l’optique de renforcer la dynamique que nous souhaitons insuffler à l’écosystème de la formation et de l’emploi.

Qu’est-ce qui a motivé votre présence à Cotonou ?

C’est avec beaucoup de plaisir, de fierté et même d’émotion que je me retrouve ici, a Benin, qui est le berceau de notre réseau. Lallai, c’est à Cotonou qu’ont été posées les bases du RAFPRO en 2006. L’année dernière, lors du renouvellement des organes dirigeants du réseau, j’ai été élu président. Il me semblait donc indispensable de venir visiter le siège, rencontrer le secrétaire permanent et ses collaborateurs, évaluer les conditions de travail et définir ensemble les dispositions à prendre pour renforcer nos actions et faire progresser les activités du réseau. Je tiens par ailleurs à souligner que notre réseau fait partie des rares associations à disposer d’un siège et d’un accord de siège signé avec les autorités du pays hôte. Je profite de cette occasion pour adresser mes sincères remerciements aux hautes autorités béninoises pour cet appui et cette reconnaissance.

Après avoir visité le siège et tenu une séance de travail, quel a été votre ressenti ?

J’ai ressenti une profonde satisfaction et une grande sérénité. Mota, nous avons abordé les différentes problématiques liées au fonctionnement du réseau et dessiné des perspectives d’avenir, notamment en vue de la prochaine Assemblée générale ordinaire qui se tiendra au Congo-Brazzaville. Nous avons également analysé les difficultés rencontrées et identifié des pistes pour améliorer les conditions de travail. Ce bilan est donc très positif et porteur d’espoir pour l’avenir.

Quels sont les grands axes de votre mandat à la présidence du RAFPRO ?

Mon mandat s’articule autour de trois axes principaux. Le premier est de renforcer la visibilité et la reconnaissance du RAFPRO. Nous devons accroître la notoriété du réseau, tant sur le continent africain qu’au-delà. Le deuxième est de professionnaliser les acteurs du réseau. Nous souhaitons développer les compétences des personnels des fonds et institutions membres. Il est primordial que nous-mêmes, en tant qu’acteurs de la formation professionnelle, soyons exemplaires et parfaitement outillés pour accompagner les entreprises dans leur montée en compétence. Kuma a karshe, le dernier, est d’élargir notre réseau. Il s’agit d’attirer d’autres institutions africaines travaillant dans le même domaine. Don yin wannan, nous devons consolider notre crédibilité, renforcer notre légitimité et asseoir notre position au sein de l’écosystème de la formation professionnelle et de l’emploi.

Après cette visite du siège, quelle a été la suite de votre séjour au Bénin ?

Après notre travail au siège, nous avons rencontré les institutions membres, notamment le FODEFCA (Fonds de Développement de la Formation Continue et de l’Apprentissage), avec qui nous avons eu une séance de travail. Nous avons profité également de cette occasion pour féliciter son directeur général nouvellement nommé. Nous avons ensuite rendu une visite de courtoisie à notre ministre de tutelle pour lui présenter nos civilités et échanger sur nos projets. A ƙarshe, la journée du vendredi a été marquée par une rencontre importante avec le secteur privé, via la Chambre de Commerce et d’Industrie du Bénin. Nous avons discuté notamment des expériences en matière de développement du capital humain, partagé les pratiques du FDFP, et encouragé une collaboration accrue entre le FODEFCA et le secteur privé, dans une dynamique qui dépasse même le cadre du RAFPRO.

Propos Recueillis par Patrice ADJAHO

Labarai iri daya

Barin amsa

Ba za a buga adireshin imel ɗinka ba. Alamar da ake buƙata filaye *