Aljihu 2021: Alibori ya bar layi bayan shekaru biyu

Les candidats au certificat d’étude primaire (Aljihu) session de juin 2021 sont déjà fixés sur leur sort. Au shirin kasa 82, 67% de candidats ayant pris part à cet examen ont pu tirer leur épingle du jeu à l’issue de la délibération qui a eu lieu le 30 Yuni 2021. Un pourcentage en baisse de 1,59% par rapport à l’année écoulée. Ainsi le département de l’Alibori est classé 11^th  Yanzu an daidaita su akan makomarsu a cikin fayil ɗin da ke da alaƙa da siyar da wani yanki na jama'a 72,63% na nasara. Un taux en baisse par rapport à l’année écoulée (73,31%). C’est la meilleure position du département de l’Alibori depuis 2019.

Un classement satisfaisant selon les différents acteurs. Pour le trésorier général de la fédération départementale des parents d’élèves de l’Alibori, ce résultat est appréciable. « C’est un sentiment de joie qui m’anime parce que notre département n’a pas occupé le dernier rang. Ceci même si le pourcentage de réussite a baissé par rapport à l’année dernière (73,31%)  », a déclaré D. Sanni avant d’inviter les différents acteurs à plus d’implication pour de meilleurs résultats les années à venir. M. Chabi enseignante abonde dans le même sens pour louer les efforts consentis par les différents acteurs. « Chaque acteur à son niveau a fait des sacrifices pour que le département de l’Alibori atteigne ce résultat. Mais tant qu’il reste à faire rien n’est fait alors j’exhorte les parents d’élèves à plus de suivi pour des résultats plus satisfaisants ».

in ba haka ba, Ibrahim Aziz pense que le rang importe peu c’est le pourcentage qui compte. « Pendant qu’il y a amélioration au niveau du classement le pourcentage de réussite a chuté donc il n’y a pas matière à se réjouir. Même s’il faut toujours occuper le dernier rang avec un taux assez élevé je crois c’est le plus important », ya ba da shawara. Il urge de mûrir les réflexions afin de définir les stratégies et orientations pour améliorer les performances des candidats à cet examen qui est la base de l’éducation.

Bachir ISSA