L’appendicite est une inflammation courante touchant de préférence les personnes âgées de 15 a 30 shekaru. Bien qu’elle puisse se déclencher à n’importe quel âge, elle reste cependant très rare avant 3 shekaru. Heureusement, elle est aujourd’hui facilement traitable, à condition d’être diagnostiquée rapidement. Lallai, de graves complications peuvent survenir en cas de prise en charge tardive. C’est pourquoi il est recommandé de consulter dès l’apparition d’un symptôme de l’appendicite.
Tout d’abord, il est essentiel de préciser que l’appendicite n’est pas un organe en soi. Il s’agit plutôt d’une inflammation soudaine de l’appendice vermiculaire, une petite excroissance du caecum, située en bas, du côté droit de l’abdomen. Cette inflammation est souvent liée à une infection mais il existe d’autres causes plus rares comme la présence de parasites ou d’une tumeur par exemple. Duk da haka, il est important de noter que la douleur ne se manifeste pas toujours immédiatement à l’emplacement de l’appendice. Elle peut débuter au niveau du nombril avant de migrer plus ou moins rapidement vers la partie inférieure droite de l’abdomen, avec une intensification au cours des 24 premières heures.
Alamar appendicitis : la douleur
La douleur, bien qu’elle soit courante, n’est pas un symptôme fiable à 100% de l’appendicite. D’une part, parce que la douleur peut être très diffuse, au point de passer pratiquement inaperçue, surtout chez les personnes âgées. D’autre part, parce que la douleur n’est pas toujours localisée au même endroit : Wani lokaci, elle irradie dans le dos ou juste en-dessous des côtes droites. Cette variation de localisation s’observe essentiellement chez les femmes enceintes et les jeunes enfants. A ƙarshe, même si une douleur se manifeste en bas à droite de l’abdomen, cela ne signifie pas nécessairement une appendicite. Misali, une crise de colique néphrétique causée par l’évacuation d’un calcul rénal du côté droit peut provoquer une vive douleur. Duk da haka, une chose est sûre : en cas de véritable crise d’appendicite, la douleur est constante. En cas de doute, consultez un médecin.
Quels autres symptômes peuvent accompagner la douleur ?
La douleur s’accompagne fréquemment d’un ou de plusieurs autres symptômes d’appendicite. Ces symptômes peuvent inclure : De la fièvre, souvent modérée (en-dessous de 38,5°C) ; Des nausées et des vomissements ; Une perte d’appétit ; Des troubles digestifs comme de la diarrhée ou au contraire de la constipation ;
Une boiterie si la douleur irradie dans la cuisse droite.
Il peut également arriver que la douleur s’apaise brièvement avant que l’abdomen ne devienne très dur, provoquant une sensation de « ventre de bois ». Cela indique généralement que l’appendice s’est rompu, libérant divers agents pathogènes et entraînant une péritonite. Dans cette situation, appelez immédiatement le SAMU (15).
Comment savoir si j’ai l’appendicite ? Diagnostic et symptôme appendicite
Vomissements, diarrhée, douleur plus ou moins spécifique : les symptômes de l’appendicite sont souvent peu distinctifs. Bien que le principe de précaution recommande une consultation rapide en cas de présence de ces symptômes, les examens peuvent révéler diverses autres causes, telles qu’une infection urinaire. Si la palpation et les analyses peuvent orienter le diagnostic, ce sont surtout les échographies et les scanners qui permettent de lever le doute. Grâce à eux, de nombreux appendices « innocents » sont épargnés chaque année alors qu’ils étaient parfois enlevés à tort par le passé.
Quels sont les traitements de l’appendicite ?
A zamanin yau, des traitements antibiotiques permettent d’éviter une intervention ou, du moins, de fortement retarder l’opération. Duk da haka, l’ablation de l’appendice (appendicectomie) demeure généralement nécessaire. Lallai, cette intervention est la meilleure manière de prévenir à 100% les risques de péritonite, une inflammation du péritoine (membrane entourant les organes de l’abdomen) aux répercutions parfois mortelles. Heureusement, l’intervention est aujourd’hui bien maîtrisée et relativement peu invasive grâce aux progrès chirurgicaux : sau da yawa, de petites incisions suffisent ! Il est à noter que même chez la femme enceinte, l’appendicectomie donne souvent de bons résultats et dans la majorité des cas, la grossesse se poursuit normalement après l’opération.
Source na waje