Incroyable mais vrai, un évènement peu ordinaire fait la une des réseaux sociaux au Nigeria. Dame Aisha mère célibataire de trois enfants accepte convoler en justes noces avec son nouveau mari Ali. Contre toute attente, elle qui n’est pas à son premier mariage décide de façon unilatérale de divorcer après seulement une semaine de vie de couple.
Parfois il y a des évènements qui vous laissent perplexe. Tout allait bien entre Aisha et Ali qui se sont engagés dans une relation amoureuse très sérieuse qui a fini par aboutir au mariage. Apparemment les deux amoureux ont fait le vœu de ne pas aller à l’acte avant de se mettre en couple. Chose normale en raison de leur conviction religieuse. Mais une fois le mariage célébré, les mariés sont contraints d’aller à l’acte sexuel pour concrétiser les vertus de leur union. C’est à cet exercice que la mariée s’est rendue à l’évidence que son choix contraste avec son désir. Elle a du mal à supporter la taille du pénis de son chéri le sieur Ali, un homme très viril et d’une efficacité sexuelle terrible. Après un premier jeu de jambes en l’air, la partie s’est avérée catastrophique pour Aisha, rapporte le Dailymail.
Face à cette expérience douloureuse, elle se réfère à sa tendre mère pour prendre conseils. Celle-ci en bonne femme africaine, lui conseilla de supporter et lui aurait même proposé des pilules pour se détendre afin de sauvegarder son foyer. De sages conseils que Aisha suit en acceptant un deuxième jeu de jambe en l’air. Malgré l’effet des pilules, c’était le désastre total au point où elle a mis fin à cette partie d’ébats sexuels précipitamment pour mieux respirer. C’est alors qu’elle prend la ferme résolution de mettre fin à cette relation. Elle saisit donc le tribunal pour divorcer. A la barre, Ali plaide coupable en reconnaissant les faits à lui reprochés par sa future ex épouse. Sans gêne il accepte le divorce mais il réclame tout de même à titre de dommage et intérêt, la dote qu’il a payé à la mariée au même titre que toutes les dépenses légales qu’il a effectué.
Martani
Les avis sont mitigés sur le comportement de dame Aisha. Pour Nadine étudiante, en 3eme année de géographie à l’Université d’Abomey-Calavi, la réaction de Aisha est normal car une partie d’ébats sexuels doit être un moment de plaisir et de partage mutuel. « Chaque partie doit sortir de cet acte requinqué, revigoré et ragaillardi », ta fada. Sentiment contraire chez Awa informaticienne pour qui au cours des rapports sexuels, l’homme doit toucher le fond afin de procurer le maximum de plaisir à sa conjointe. « Elle n’a pas droit de divorcer. Elle doit trouver la position idéale pour ne pas arriver à cette séparation. Elle a donné l’impression d’aimer l’homme pour son argent. Un mariage, c’est pour le meilleur et le pire », soutient-elle.
Anatole jeune entrepreneur quant à lui estime que l’homme et la femme doivent aller à l’acte sexuel avant le mariage pour éviter tout problème. « Il est mieux de se découvrir autrement c’est-à-dire d’aller à l’acte avant de se marier. Cela évitera d’assister à ces genres de scène », nace.
Léopold GBEGA