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Irene Taylor a cikin sirrin Celine Dion : "Shi ne mafi munin abin da na taɓa yin fim"

NEW YORK, NEW YORK - JUNE 17: (L-R) Céline Dion da Irene Taylor sun halarci bikin "Ni ne: Celine Dion" Nuni na musamman na New York a Alice Tully Hall ranar Yuni 17, 2024 a birnin New York. Cindy Ord/Hotunan Getty/AFP (Hoton Cindy Ord / Hotunan GETTY AREWA AMERICA / Hotunan Getty ta hanyar AFP)

Irene Taylor, réalisatrice du documentaire de la diva détaille l’une des crises de la chanteuse à cause du syndrome de la personne raide.

Lors d’une interview au «Parisien» le 24 Yuni, la documentariste de Céline Dion, Irene Taylor, a décrit en détails l’une des crises de la chanteuse souffrant du syndrome de la personne de la raide. La scène s’est déroulée sous ses yeux, alors qu’elle était en train de filmer «Je suis: Céline Dion», disponible déjà sur Prime Video.

Cette séquence a eu lieu lorsque l’artiste était revenue chez elle après une session éprouvante en studio. À ce moment précis, cela faisait deux mois que la diva était murée dans le silence à cause de sa maladie, et elle tentait désormais de chanter à nouveau. Elle fut prise d’une crise de spasmes devant la caméra d’Irene Taylor.

«C’est la pire chose que je n’ai jamais filmée»

La réalisatrice a alors assisté durant de longues minutes au spectacle dérangeant du corps de Céline Dion en train de se raidir. La star avait du mal à respirer, tandis que ses yeux étaient en train de se perdre. Elle gémissait et pleurait de douleur tandis que ses lèvres tremblaient. «C’est la pire chose que je n’ai jamais filmée. J’étais tellement mal à l’aise, paniquée. J’étais toute seule avec le caméraman dans la pièce. J’avais des écouteurs et j’entendais à peine sa respiration. Cela a duré quarante minutes avant qu’elle ne reprenne conscience. Je me suis demandé si je continuais à filmer, mais j’avais assez travaillé avec elle avant pour savoir que je devais le faire, même si je ne gardais pas la scène», a expliqué Irene Taylor.

«J’ai un respect total pour elle»

Finalement, cette séquence, qui a été tournée vers la fin de l’année 2022, sera bien présente dans le documentaire. «J’ai un respect total pour elle, je suis capable de chanter par coeur trois ou quatre de ses chansons en anglais, mais je ne connaissais pas bien son répertoire français. N’étant pas une fan, je savais très peu de choses sur son histoire. Sony Music m’a proposé de travailler sur ce projet un an plus tôt, et j’ai été flattée qu’elle pense que j’étais la bonne personne pour parler avec elle et d’elle. En la rencontrant, j’ai pu voir combien elle était sincère, et j’ai eu envie d’en savoir plus», Ta karasa maganar.

Source LE MATIN

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