Godiya ga kwanaki huɗu na kwasa-kwasan kwasa-kwasan da misalan misalan nasara, 'yan wasan motsa jiki kusan dari an tanada musu kayan aiki a cikin satin da ya gabata a ƙarƙashin kulawar Monange Promotions na Sosthene Sèflimi wanda ya kira masanin Vincent Chaudel wanda Jean-Marc Adjovi-Boco ke tallafawa.. Le but final de cette initiative est de donner les rudiments nécessaires aux différents participants suite aux réformes entreprises par l’Etat béninois dans le domaine du sport.
Des bases de l’écosystème du sport business en passant par l’économie du sport professionnel, l’évolution des médias et réseaux sociaux, les grandes compétitions ou événements sans oublier sports et collectivités territoriales, cinq thématiques ont été passées au peigne fin. Le Conseiller spécial du Ministre des sports, l’ancien international, Jean Marc Adjovi-Boco a eu le privilège de contextualiser chaque aspect évoqué par le formateur, l’expert français Vincent Chaudel, président de l’Observatoire du sport business en France et Directeur de la Communication et du Marketing pour des cabinets de conseil (Ineum Consulitng, Kurt Salmon, Wavestone) afin d’éclairer davantage la lanterne des participants. A cewarsa, le gouvernement du Président Patrice Talon a eu l’ingénieuse idée de créer un cadre pour la mise en route du professionnalisme au Bénin à travers l’instauration de la Taxe sur le Développement du Sport et la construction des stades. De tous les enseignements et développement des thématiques, on retient que le sport en général et le football en particulier ne peut devenir professionnel que si certaines conditions sont remplies à savoir la formation des athlètes de qualité, le payement régulier de leurs émoluments et la mise en place d’une administration qualifiée.
Pour Sostène Sèflimi, Directeur du Cabinet Monange Promotions, la satisfaction n’est pas totale à cause de certaines absences au niveau des participants. « Nous sommes moyennement satisfaits de ce que nous avons mis en place, parce qu’au commencement, il avait quatre profils de participants que nous avons souhaités. Malheureusement les grandes entreprises n’ont pas fait le déplacement. Bien que nous soyons allés vers elles, à travers le Conseil national du patronat. C’est pourquoi nous disons que nous sommes à 50% satisfait pour ce qui est du schéma pris au départ pour la participation », a-t-il déclaré tout en ajoutant. « Pour ce qui concerne le contenu de la formation, les participants sont éblouis par la lumière de ce qu’ils ont reçu. Ils ont compris que nous avons eu raison d’aller loin pour aller chercher un expert européen. Ils ont vu que nous sommes à des années lumières de ce qui sa fait mais que nous pouvons combler ce retard si nous prenons les dispositions qu’il faut ».
Damien TOLOMISSI
Ils ont dit…
Gaston Zossou, Directeur général de la Loterie Nationale du Bénin (LNB)
“Merci d’avoir participé à la formation. Je pense que ceci est un point de départ et un redécollage d’un l’enjeu qui était déjà en envol. On va s’appuyer sur la formation pour davantage faire ce qu’on pourra. Le sport est peut-être le dernier remède. “
Francis Gbian, président de Damissa Fc (club de football de Ligue 1)
“C’est une formation que j’ai prise à la volée mais j’ai constaté que j’ai eu raison de participer à cette formation. C’est très important pour un dirigeant de club comme moi de bien apprendre comment gérer un club, comment gérer un projet sportif. (…) Pour ces quatre jours de formation, j’ai beaucoup appris. Il y a des notions qui m’échappaient et je pensais bien faire mais par cette formation, j’ai compris que j’avais beaucoup de lacunes au niveau de la gestion de mon club. Ceux qui ont raté cette formation ont raté beaucoup de choses. “
Pierre Hinvi, vice-président de la Fédération béninoise de boxe
“Nous avons pu tirer ce qu’on a pu tirer. (…) Gabaɗaya, nous avons appris beaucoup de choses. Ce qui nous oblige à revoir un certain nombre de chose depuis la base, nous réorganiser, et voir dans quelle mesure nous mettre en association de fédération quitte à ce que nous puissions indexer au gouvernement de notre pays et au Chef de l’Etat, qui est très ambitieux, sur quels pieds nous pouvons danser de manière à ce que tout ce que nous avons appris aujourd’hui qu’on puisse mettre ça en pratique depuis le ministère jusqu’aux clubs en passant par les Ligues. “
Serge Acakpo, vice-président de la Fédération béninoise de handball
“A l’issue de cette formation, nous avons eu beaucoup de clés pour aborder le marketing sportif. Le formateur a mis l’accent sur beaucoup de concepts modernes pour que de chaque côté où l’on se situe, qu’on soit Fédération sportive, annonceur, Ma'aikatar wasanni, comment faire pour rendre nos produits vendables. Pour avoir une économie autour du sport, il faut d’abord s’organiser pour que ce que nous avons à présenter soit réellement vendable pour attirer les mécènes vers nous. Ce sont ces différents concepts et techniques que nous a apportés le formateur lors de cette formation. Ce qui a été essentiel, c’est que les outils ont été proposés. Il revient à chaque fédération et à chaque participant de pouvoir contextualiser les approches proposées pour véritablement en tirer profit. ”