Très attachée à son leitmotiv, celui de procurer de la joie dans les cœurs des personnes démunies, la Fondation Abakè n’en manque pas d’occasion. Elle vient à cet effet de procéder au lancement d’une campagne dénommée « un million de sourires ». Ranar laraba ce 18 Février dernier. Cette initiative qui a débuté par la ville de Cotonou va s’étendre sur l’ensemble du territoire national.
« Nul n’a le droit d’être heureux tout seul ». Cette invite à la générosité trouve justement son sens dans cette œuvre caritative de la Fondation Abakè. En cette période où se nourrir n’est pas si aisé en raison de la cherté de la vie, cette structure connue pour ses actions sociales à nulle autre pareille se veut être une source d’espérance à la population béninoise. C’est à travers cette campagne dont le but est d’assurer ce besoin fondamental de l’homme à un million de Béninois en situation difficile. Et déjà au début de l’opération, des centaines de personnes cibles ont déjà des sourires aux lèvres. Il s’agit notamment des enfants et des personnes âgées des quartiers de Cotonou à savoir : Zongo, Jonquet et Gbégamey. À chaque étape, l’initiative connaît un succès retentissant puisqu’après le repas accompagné d’oranges et de l’eau, les bénéficiaires retrouvent de larges sourires avec une pluie de prières à l’endroit de Abakè de Rosa Assongba et Rosalie Walter respectivement présidente et coordinatrice de la Fondation Abakè.
Le goût du don…
En initiant cette campagne, la Fondation Abakè donne l’exemple quant à la nécessité de partager de la joie avec ceux qui en ont besoin. Et après l’étape inaugurale de ce projet, les fruits ont tenu la promesse des fleurs, car, ces enfants et personnes âgées qui ont eu la chance de bénéficier de ce coup de pousse en matière d’alimentation ont manifesté leur sentiment de joie. C’est dire donc que chacun autant que faire se peut à le devoir de partager un instant de bonheur avec des couches vulnérables. Bayan Cotonou, cap sera mis les jours à venir sur les autres villes et contrées du pays pour le même exercice.
Edmond HOUESSIKINDE