Promue à la tête de l’institution, il y a quelques mois en remplacement de Roger Tawes, Chimène Lougbégnon épouse Bossa, Daraktan Hijira da Shige da Fice (DEI) apporte petit à petit sa touche féminine pour, non seulement le rayonnement de l’institution mais également, la satisfaction des usagers en temps réel. Depuis son avènement, les réformes initiées par le gouvernement dans cette institution, sensible, suivent leurs cours normalement et surtout dans une célérité remarquable.
Tabbas, la Directrice n’est pas une inconnue de la maison. Précédemment Chef de service des étrangers, elle a une parfaite connaissance des enjeux et défis de la DEI et apporte rationnellement son expertise pour l’aboutissement heureux des réformes. A en croire les personnes averties du domaine, la DEI n’est plus dans l’œil du cyclone. Les demandes de documents relatifs à l’émigration ou à l’immigration grâce à la digitalisation. Tout se passe en ligne et une fois la demande effectuée, le jour de votre rendez-vous, les agents vous reçoivent et vos dossiers sont traités convenablement selon les règles exigées. « Le travail se passe dans la sérénité et de façon efficace » a confié un usager rencontré dans les encablures de la DEI. Les ronchonnements internes (des agents) ou des usagers sont moins perceptibles. La direction et les autres services de la DEI sont résolument au service des usagers ce qui repositionne la structure dans son vrai rôle.
Le hic est la situation géographique et la vétusté du bâtiment qui abrite les locaux. La DEI respire la décrépitude et le gouvernement de la Rupture doit certainement penser à reloger cette direction qui reprend ses lettres de noblesse sous l’impulsion de Chimène Lougbégnon épouse Bossa, une amazone des temps modernes.
Fidèle AKODODJA (Col)