Après la Fédération Béninoise de l’Escrime, c’est le tour des fédérations béninoises de Lutte et de Taekwondo de recevoir un don exceptionnel de matériels sportifs de la part du Comité national olympique et sportif béninois (Cnos Ben). La cérémonie s’est déroulée mercredi, 27 Satumba 2023.
Des tatamis aux normes pour la Fédération Béninoise de Taekwondo (Fbtae) afin de permettre aux athlètes de travailler sur des matériels de bonne qualité, tout d’une valeur de 3.744.000 Francs CFA. Au niveau de la Fédération Béninoise de Lutte, le don est composé d’un tapis de lutte olympique, de cinq différentes chaussures de lutte olympique, d’une pèse personne (normale), na 17 maillots de lutte de diverses couleurs, soit un total de 3.512.572, 18 Francs CFA.
Cet acte dira le président de la Fbtae, Victorien Kougblénou vient une fois encore « démontrer la volonté du Comité national olympique et sportif béninois et de son président à soutenir le plus significativement possible, les acteurs du mouvement sportif pour le développement, le rayonnement et la révélation du sport béninois»,
« Ce lot d’équipements sportifs garantit de nouveaux jours de performance. Mieux cela rassure l’organisation du tout premier championnat national de lutte olympique », renchérit Yves Azifan, président de la Fédération Béninoise de Lutte.
A cikin sakonsa, le président du Cnos-Ben Julien Minavoa a laissé entendre que le geste du Cnos-Ben vient combler les différentes failles constatées au niveau de ces deux Fédérations nationales sportives. «Notre chef de l’Etat a clairement planté sa vision pour la jeunesse. Pour le sport, il souhaite qu’à travers le sport, nous puissions valoriser notre pays. Nous puissions le révéler», ya nanata. «De son côté, le Ministre des sports l’a implémenté en tenant compte évidemment des moyens de l’Etat, et dans ces limites d’accompagner chaque Fédération. Et comment voulez-vous que devant de telles volontés, le Cnos-Ben se croise les bras. Nous devons venir jouer aussi notre partition en accompagnant les autorités de notre pays», a justifié Julien Minavoa.
D. TOLOMISSI