Gianni Infantino, président de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA), ne démord pas en ce qui concerne sa lutte implacable contre le racisme dans le football. Si les multiples actions engagées pour endiguer le fléau dans les stades tardent à prendre correctement, la première personnalité du monde football veut définir d’autres stratégies pour réussir le pari. Notamment, se mettre dans une même moule avec les associations membres européennes pour mettre le racisme »hors du champ de jeu »
Le coeur même d’un monde uni, fraternel, pacifique et plus développé, c’est le football. Cette discipline est devenue une doctrine épousée par toute la planète. Le football n’a pas de frontière car, il est touché sous le même aspect partout, la forme ronde qui rappelle au même moment le globe terrestre. Là où tous les êtres humains vivement. De toute évidence, il ne devrait avoir de differences autour du sport et plus encore autour du football. Malheureusement, c’est tout le contraire qui s’observe dans les stades, surtout ceux occidentaux. Joueurs, entraîneurs et supporters des équipes adverses sont traités de tous noms d’oiseaux. Ils subissent des propos avilissants et d’un bas niveau. Plutôt que d’être un lieu où la joie et l’esprit de convivialité doivent régner, c’est des scènes totalement abjectes qui inondent les travers des stades. »Le Racisme », il reste une pègre à abattre pour avancer en créant un monde de type nouveau autour du football. Et c’est tout le combat du président de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA), Gianni Infantino. Le patriarche du football mondial ne cesse de multiplier des actions et stratégies fortes pour éradiquer ce phénomène. D’où sa nouvelle trouvaille. »Nous devons mettre un terme à cette situation par tous genres congrès de l’UEFA à Paris.
A cette occasion, le président Infantino a informé les responsables des associations membres de l’UEFA de la nécessité de jumeler les actions et stratégies avec la FIFA afin que la lutte puisse payer efficacement. »Ce que je vous demande, c’est de travailler tous ensemble au cours des trois mois qui nous séparent du Congrès de la FIFA à Bangkok. Nous pourrons ainsi nous retrouver en Mai pour présenter une résolution forte autour de laquelle les 211 pays de la FIFA pourront s’unir pour combattre le racisme. Eradiquons le racisme, maintenant et faisons-le maintenant », a-t-il insisté.