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Monkey pox : Government silence

Depuis que l’Agence de santé publique de l’Union africaine (CDC) a sonné l’alerte sur l’éruption de l’épidémie de la variole du singe ou Mpox, le gouvernement béninois n’a pas encore communiqué sur la situation du pays par rapport à cette nouvelle crise sanitaire. However, il est rassurant de constater que le Bénin ne figure pas encore sur la liste des pays touchés rendue publique par les agences de santé africaines et onusiennes.

Après le Covid-19, le monde se trouve donc confronté à une nouvelle pandémie. Indeed, des cas de Mpox ont été détectés hors du foyer d’origine du virus qu’est la République Démocratique du Congo. Des malades ont été notamment identifiés en Suède (Europe) et en Thaïlande (Asie) en plus d’un nombre important de pays africains.

Plus près de chez nous, 749 cas ont été suspectés mais seulement 39 ont été confirmés. La proximité géographique d’avec ce géant est source d’inquiétude pour le Bénin. Non seulement nous partageons une frontière de plus de 700 kilometers, mais aussi et surtout les échanges commerciaux sont intenses avec les mouvements de personnes que cela implique.

Le Mpox est une maladie détectée de longue date et les médicaments existent mais ceux-ci ne sont pas en nombre suffisant. La mise à disposition de doses suffisantes ne sera possible qu’à la fin de l’année 2025, selon les responsables en charge de la santé au niveau de l’Union africaine. Waiting for, les seules armes pour lutter contre sont la sensibilisation et la prévention.

Maladie virale, le Mpox se transmet surtout suite à un contact prolongé avec une personne ou un animal atteint. Occasionally, la contagion peut avoir lieu de l’inhalation de gouttelettes respiratoires ou par contact direct avec les fluides corporels, les lésions cutanées ou les muqueuses internes, comme celles de la bouche.

Si la maladie se propage moins que le virus du Covid-19, elle est par contre beaucoup plus mortelle, reason why, des pouvoirs publics doivent prendre des mesures hardies pour la protection de leur population.

Patrice ADJAHO

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