Jean Sodji, Vice-President Adjidja HBC : “A feeling of joy but…”

Du haut de la 6ème place l’année dernière, Adjidja HBC a gravi les échelons pour s’emparer de la 5ème position lors de l’édition 2024 du Championnat d’Afrique des Clubs Champions de Handball qui s’est déroulée au Maroc. Un parcours remarquable qui d’après Jean Sodji, Vice-président du club des Forces Armées Béninoises souligne la progression constante du club Lisez plutôt !!

Quel a été le sentiment qui vous a animé lorsque votre équipe a occupé la cinquième place à l’issue du 45ème Championnat d’Afrique des Clubs Champions ?

Un sentiment de joie mais également un sentiment de grandes missions qui restent à accomplir. Since, pour ceux qui ont eu droit à mes rares interviews, je n’avais eu de cesse de dire que je suis là, dans le but d’amener vers le sommet continental le handball béninois. Bien vrai qu’on est tombé au second tour face à un plus fort que nous mais ce n’est que partie remise. Cela nous amène à encore travailler plus.

Quels sont les éléments qui vous ont permis de hisser le club à ce niveau en si peu de temps?

First, c’était un bureau qui jouissait d’une cohésion sans nul pareil. C’était un bureau qui savait où il allait parce qu’il s’est fixé un objectif clair comme pré énoncé. Ensuite, il y a eu un travail de fourmi. Cela veut dire quoi ? Have you been influenced by them in your work, gérer un club sans sponsor. Il fallait donc un contact permanent avec les joueurs. Il fallait les convaincre du sens sportif de la compétition au-delà de ce que cela peut amener comme intérêt pécuniaire. Cela a été un travail quotidien, dans la douleur parfois parce que les plus faibles ont cédé au pouvoir de l’argent et ont quitté le navire. So, le secret a été la proximité avec les joueurs, un travail de tous les jours pour maintenir la cohésion au sein de l’équipe et faire valoir le sens sportif de tout ce qu’on faisait. And, au bout, je pense qu’ils ont compris que c’était très intéressant de commencer par être champion et de gouter aux délices des compétitions africaines Ceci dit, on s’organisait pour quand même de légers accompagnements de nos joueurs, en face des rémunérations mirobolantes qui pourraient les attirer. Nous avons su les garder. So, on a eu un esprit de conducteur d’hommes.

Today, qu’est-ce que cette performance peut changer dans la vie du club ?

In fact, ça va changer beaucoup de choses dans la vie du club. First, les joueurs ont déjà compris, qu’aujourd’hui, on n’a pas besoin de grands moyens pour faire de grandes choses. La cohésion et le don de soi peuvent produire un résultat. Better, nous ne sommes plus, today, à la phase de dire, nous allons défendre notre club. Nous devenons un identifiant national aujourd’hui parce que dans les joutes continentales à venir, nous avons le devoir et l’obligation de faire mieux Et, cela interpelle à plus d’un niveau.

Avez-vous un message à l’endroit de la hiérarchie militaire ?

Je remercie toute la hiérarchie militaire qui nous a accompagnés à atteindre ce niveau. Je l’invite à toujours nous soutenir pour encore de meilleurs résultats.Et je n’oublie pas le comité exécutif de la Fédération Béninoise de Handball, dirigée par le président Sidikou Karimou pour ses multiplies efforts pour le rayonnement du handball béninois.

Interview by Damien TOLOMISSI