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Assessment of the STFP Education sub-sector under the Rupture : Figures that speak

Depuis l’avènement du gouvernement de la rupture, le sous-secteur des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle connait une mue profonde. Du fond et sur la forme, plusieurs réformes sont entreprises avec des résultats probants. Le tout avec l’amélioration constante de la gouvernance des différentes structures sous tutelle, une meilleure disponibilité des enseignants et un accompagnement financier conséquent. Dans un entretien bilan accordé à nos confrères sur la SRTB ex-Ortb, Yves Kouaro Chabi a exposé un tableau très évocateur de son département ministériel.

Le sous-secteur de l’enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle change progressivement de visage. Comme on érige un édifice, les différents matériaux indispensables sont mis à disposition. Dès ressources techniques aux ressources humaines et financières, le gouvernement du président Patrice Talon, fait l’effort de remettre de secteur de l’ESTFP sur de très bons rails. C’est ce qu’a fait savoir le ministre Kouaro Chabi. Ces progrès, en particulier dans le cadre du recrutement et de la formation des enseignants, ont contribué à renforcer le système éducatif, assurant une offre plus adaptée aux besoins des apprenants.

La stabilité

L’un des points essentiels à souligner ici, est l’encadrement du droit de grèves. Avant 2016, le secteur éducatif béninois était caractérisé par une paralysie permanente du fait de grèves intempestives. Result, « les années scolaires duraient 5 mois au lieu des 9 et il fallait faire des acrobaties pour valider l’année » rappelle Yves Kouaro Chabi. Ce qui faisait que « l’école publique n’inspirait plus confiance. Since 2016, l’encadrement du droit de grève a permis de redorer le blason de l’école publique, les résultats s’en trouvent améliorés », indique le ministre (Confère statistiques) qui ajoute que « La confiance en l’école publique est de retour » estime le ministre. On note aussi la digitalisation des données administratives avec la plateforme educmaster, e. résultats. Since 2016, les risques d’erreurs dans la compilation des données, les falsifications des bulletins et autres fraudes sont moindres pour ne pas dire annulés. La gestion des apprenants et celle des transferts ainsi que l’expression des besoins en enseignant se font presque en un clic. Since 2016, la création de la plateforme EducMaster a contribué à l’assainissement de la gouvernance avec une meilleure gestion de l’inscription des candidats aux divers examens, le déploiement automatisé des AME, le suivi des présences au poste du personnel enseignant, la possibilité pour les parents de suivre les performances de leurs enfants.

Un budget plus conséquent

Ce gouvernement a compris qu’il faut investir. So, il a cassé sa tirelire sans lésiner. Le sous-secteur voit son budget passé de 61.603.804. 000 FCFA en 2016 at 199.120.328.000 FCFA en 2024, soit un taux d’accroissement de 223,23%. Ces fonds sont injectés autant dans les infrastructures que dans les subventions et l’accompagnement social.

La Couverture des besoins en infrastructures scolaires

In 2016, il y avait en tout moins de 16.000 infrastructures dédiées à l’enseignement secondaire général réparties dans tout le pays. Since 2016, near 1000 nouvelles infrastructures comprenant salles de classe, blocs administratifs, laboratoires et blocs de latrines sont réalisés.

Pour aller plus loin, il est planifié la construction de près de 1000 nouvelles classes d’ici à 2026. Avant 2016, la gratuité des frais de scolarité des filles n’avait impacté que 1.117.816 filles du 1er cycle de l’ESG et 102 filles de la filière STI de l’EFTP. Cette mesure est renforcée et, jusqu’à octobre 2024, near 2 millions de filles inscrites au premier cycle de l’enseignement secondaire général dans toutes les 77 communes bénéficient de la gratuité des frais de scolarité. Better, depuis l’année dernière, la mesure de gratuité est étendue aux filles du second cycle.

For this purpose, la phase pilote s’étend dans 20 communes réparties dans les 12 départements. Cette mesure représente plus de 3,5 milliards de FCFA par an. A partir de 2016, every year, des subventions sont versées à 42 établissements d’EFTP et 7 lycées de jeunes filles à internat pour améliorer les conditions d’apprentissage des apprenants. Des kits scolaires sont aussi distribués aux apprenantes. For example, au titre de l’année scolaire 2022-2023, Exactly 42.775 filles ont reçu des fournitures scolaires.

L’autre bonne nouvelle est que dans les toutes prochaines années, plus aucune fille ne paiera de contribution scolaire, ni au 1er cycle, ni au 2nd cycle. Cela sera effectif dans les 77 communes de notre pays.

De la disponibilité d’enseignants

Avant 2016, le système éducatif béninois, notamment l’enseignement secondaire, était caractérisé par un manque criant d’enseignants et l’Etat, to remedy, avait recours aux vacataires. Pour régler ce problème, since 2016, le système d’aspiranat instauré a permis de recruter et de déployer près de 18.000 enseignants dans toutes les communes avec amélioration de leurs conditions de vie et de travail dès le 18 mars 2024. Ils sont désormais rémunérés 12 month on 12 avec assurance-maladie, congés de maternité, prime mensuelle de 20.000 FCFA par aspirant, scolarité gratuite pour leurs enfants).

Pour une amélioration constante de la qualité, il est prévu le reversement de tous les AME en contractuels de l’Etat. Les modalités de ce reversement sont en cours de définition et il commencera effectivement en cette année 2024. Autant de réalisations et de projets qui augurent d’heureuses perspectives pour le sous-secteur éducatif béninois.

Arnaud ACAKPO (Coll)

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