Alibori / Politics : Capacity building of Fcbe elected officials of the 1st and 2nd electoral district

It’s at the GB hotel in Kandi, on Sunday 13 September 2020, que les élus communaux des deux circonscriptions électorales de l’Alibori se sont réunis pour échanger. Goals, faire le bilan de la participation des Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe) aux élections communales et municipales, aborder la question du parrainage et de la participation à l’élection présidentielle de 2021 et définir le comportement des élus Fcbe.

A en croire Idrissou Bako, coordonnateur de la première circonscription électorale, le bilan des Fcbe lors des élections communales et municipales est satisfaisant dans la mesure où « malgré les maigres moyens financiers et les adversités dont on a eu à faire face, notre parti s’en est sorti avec 56 conseillers sur l’ensemble du département de l’Alibori constitué des communes de kandi, Gogounou, Karimama, Segbana, Malanville et Banikoara ». Il a profitéde cette occasion pour témoigner la gratitude du parti à l’endroit des militants. « C’est le moment de féliciter tous les militants et sympathisants pour le travail abattu et un satisfecit particulier à l’endroit de la commune de Kandi pour avoir porté à la tête de l’exécutif communal une femme ». « Les Fcbe sont la troisième force politique du pays. En témoigne les résultats des dernières consultations électorales et la première force de l’opposition », a fait savoir Idrissou Bako.

Rufin Nansounon, coordonnateur de la deuxième circonscription électorale s’est attelé au volet du système de parrainage. « Les portes du parti Fcbe sont ouvertes aux autres formations politiques », a-t-il laissé entendre. Dans le cadre de l’élection présidentielle de 2021, « nous allons poursuivre les négociations pour obtenir des parrainages. Pour finir, Gounou Sanni, membre du parti a apporté des précisions sur le comportement des élus. « Je vous exhorte à consolider les valeurs des Fcbe qui vous servent de guide afin de bien jouer le rôle à vous confiépar les populations en tant qu’élus communaux » a-t-il conclu.

Bachir ISSA