Dadah Bokpê Houézrèhouêkê : Artisan de la cohésion nationale

 Dadah Bokpê Houézrèhouêkê : Artisan de la cohésion nationale

Le mercredi 16 avril 2025, le palais royal de Dadah Bokpê Houézrèhouêkê à Avrekété a vibré au rythme d’une assemblée exceptionnelle. Des rois, des chefs traditionnels et des dignitaires venus de tout le Bénin s’y sont réunis pour rendre hommage à Sa Majesté, reconnue pour son engagement en faveur de la paix et de la préservation des cultures ancestrales.

Au regard des soutiens de la Fondation Dah Bokpè pour la paix spirituelle au Bénin en général, en vers les palais royaux et récemment son parrainage envers l’ADFAT pour la consultation, le sacrifice et la tournée d’offrandes aux différentes divinités révélé par le signe  »gbégounda » de 2025, toutes les majestés étant présent ont décliné Dadah Bokpè, l’unique et le seul « Empereur » au Bénin à partir d’aujourd’hui.

En effet, cette rencontre s’inscrit dans la continuité des récentes offrandes faites par la fondation « Dah Bokpè » en l’honneur des différentes divinités pour implorer l’assistance et la protection du Roi Adjahouto, une icône majeure du panthéon béninois. Des rois, des chefs traditionnels et des dignitaires ont exprimé leur gratitude envers Dadah Bokpê Houézrèhouêkê pour ses actions en faveur de la nation, tout en réaffirmant leur engagement commun pour la stabilité du pays.

Selon, Dah Milonon Glèlè II, président de l’Association des Dignitaires du Fâ et des Tradi-thérapeutes du Bénin (ADFAT-Bénin), il s’agit d’un rassemblement pour la paix et la cohésion nationale. « Les échanges ont porté sur la nécessité de renforcer les liens entre les traditions spirituelles et la gouvernance moderne. Les rois présents ont insisté sur le rôle central des cultes ancestraux dans la résolution des crises contemporaines » a-t-il confié tout en ajoutant « Les rois présents ont profité de cette rencontre pour remercier, féliciter et bénir Dadah Bokpê Houézrèhouêkê, saluant son engagement pour la préservation des traditions et son rôle dans la cohésion nationale. Nous le remercions pour tout ce qu’il fait pour donner une visibilité et un cachet spécial à ADFAT-Bénin car sans sa majesté nous ne pouvons atteindre ce niveau aujourd’hui ».

Dadah Bokpê Houézrèhouêkê : Un messager de l’invisible

Dans son discours, Sa Majesté Dah Bokpê Houézrèhouêkê a rappelé la dimension spirituelle de toute action humaine : « L’homme n’est rien sans l’esprit. Nous sommes dans un monde de dualité. L’homme est une chair et un esprit ». Il a expliqué que les rois présents étaient venus chercher son soutien pour réinstaller les divinités dans leurs royaumes respectifs. « Je ne suis qu’un instrument de l’invisible par l’amour de Dieu » », a-t-il déclaré, soulignant que son rôle était avant tout celui d’un intermédiaire entre le visible et l’invisible.

Un appel à une gouvernance inspirée par le sacré

Dans son discours, Sa Majesté Dadah Bokpê Houézrèhouêkê a rappelé la dimension spirituelle de toute action humaine : « L’homme n’est rien sans l’esprit. Nous sommes dans un monde de dualité. L’homme est une chair et un esprit ». Il a expliqué que les rois présents étaient venus chercher son soutien pour réinstaller les divinités dans leurs royaumes respectifs. « Je ne suis qu’un instrument de l’invisible par l’amour de Dieu » », a-t-il déclaré, soulignant que son rôle était avant tout celui d’un intermédiaire entre le visible et l’invisible.

Vers un Bénin modèle de développement spirituel

L’ambition affichée est claire : faire du Bénin un exemple mondial, non seulement par son tourisme culturel, mais aussi par son modèle de gouvernance harmonieux, alliant modernité et traditions. « Demain, les peuples en profiteront », a conclu Dadah Bokpê Houézrèhouêkê, laissant entrevoir un avenir où le Bénin pourrait exporter bien plus que ses richesses matérielles : une sagesse ancestrale au service du progrès.
Cette rencontre royale à Avrekété marque un tournant dans la quête d’un équilibre entre tradition et modernité. En plaçant la spiritualité au cœur du développement, les dignitaires béninois envoient un message fort : pour construire la paix, il faut écouter les voix de l’invisible.

Damien TOLOMISSI

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