La branche Textile, Habillement, Cuir et Peau du secteur de l’artisanat ouvre son cycle de composition pour le compte de la 2e session de l’examen de Certificat Qualification au Métier (CQM). Si certains estiment que les épreuves sont denses au niveau d’autres branches, le couturier styliste, Juste Gbodogbé rassure les candidats de ce que les épreuves sont choisies en fonction du niveau moyen des apprenants.
Ce mercredi 23 octobre 2024, les couturiers styliste, modélistes, matelassiers, cordonniers et autres composent au Lycée technique de Kpondéhou. Les candidats étaient très appliqués, qui dessinant un croquis de modèle, qui découpant un tissu. Du nord au sud, les candidats subissent les épreuves sur toute l’étendue du territoire national.
Interrogé sur la qualité des épreuves Juste Gbodogbé pense que tout est fait selon le niveau des candidats. « Ce n’est pas des épreuves très compliquées » a confié Justo Fashion. « C’est ce qu’ils ont appris pendant trois voire quatre ans, qui leur sera demandé. Donc, de notre côté, il n’y a pas à dire que c’est difficile. Mieux, il faut que cela soit un peu corsé pour solliciter leur intelligence. Ce que certains ne savent pas, ce qui leur est soumis fait partie des cas de situations qui surviennent dans le quotidien. S’ils ne sont pas habitués à résoudre des problèmes eux-mêmes comment feront-ils après ? » S’interroge-t-il. P
our finir Juste Gbodogbé demande aux candidats d’être à l’aise et de ne pas paniquer au cours de la composition et ils s’en sortiront « parce que rien d’impossible ne leur sera demandé » a rassuré le maître couturier.
Arnaud ACAKPO (Coll)