Le vote de la loi sur les Interrupteurs volontaires de grossesse (IVG) continue, chaque jour que Dieu fait, de susciter des réactions. La semaine écoulée, c’est le Président international de l’Association des dignitaires de Fâ et des Tradi-Thérapeutes (ADFAT), Dah Glèlè Milonon 2 qui s’est prononcé sur le sujet.
La loi, dans ces dispositions, est la bienvenue compte tenu de ce qui se passe actuellement estime d’entrée Dah Glèlè Milonon 2, Président international de l’Association des dignitaires de Fâ et des Tradi-Thérapeutes (ADFAT). « Ce sont des personnes âgées qui ont voté cette loi. Imaginez un enfant de 12 أو 13 ans qui tombe enceinte. Quelle éducation a-t-elle déjà reçu elle-même pour prétendre éduquer quelqu’un d’autre? Il faut que nous nous posions ces questions » argumente le dignitaire. C’est pour cela dit-il « Le législateur a raison de voter cette loi ».
S’il est vrai que les religions (endogènes et révélées) toutes tendances confondues dénoncent le vote de cette loi, à juste titre, en raison du caractère sacré de la vie, il faut analyser la décision du parlement sous le prisme de la réalité sociale actuelle pense Dah Glèlè Molonon 2. أفضل, la conscience et la responsabilité de chacun doivent travailler en ce sens que le législateur ne fait systématiquement de cette loi une obligation « Les députés n’ont pas dit nous avons déjà payé les gynécologues. Donc une femme peut se lever et dire à son mari je veux avorter. Ils ont fixé les conditions dans lesquelles cela doit se faire »a-t-il expliqué avant d’ajouter que « Les députés ne passeront pas de maison en maison pour demander aux filles d’avorter ». Conséquences le tout est dans la manière dont chaque situation sera gérée. Sur ce plan, le président international de l’AdFaT invite les leaders d’opinion à des critiques objectives.
Sur le nom de famille à donner à l’enfant, la tradition a déjà réglé ce cas normalement. Pour exemple « à Danxomè, personne ne peut faire d’enfants sans avoir fait la dot, donc sans se marier. Je ne vois pas cette Femme qui va donner son nom à un enfant si elle a reçu la doté a précisé Dah Glèlè Milonon.
ليونارد سونهيكبون