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تدقيق السجل الانتخابي : الاستعراض الدوري الشامل ومكتب BR في وضع سيء

بعد أن أعطى رئيس الدولة موافقته على تدقيق السجل الانتخابي منذ نوفمبر, قررت الأحزاب المؤيدة له أن تتعارض مع التيار لعرقلة المعارضة التي, من أجلها, أمسك الكرة. وهو الموقف الذي يظهر في عيون العديد من المواطنين, l’UPR et le BR comme des acteurs politiques opposés à des élections libres et transparentes.

De l’avis d’un membre du parti UPR pourtant de la majorité présidentielle, la liste électorale contiendrait 500.000 électeurs morts. Dans des propos qui lui sont attribués par un média de la place, Jacques Richard Codjo, met en cause la fiabilité de cette liste gérée par l’Agence Nationale d’Identification des Personnes (ANIP).

Ce faisant, ce cadre de la mouvance se met en porte-à-faux avec la ligne défendue par son propre parti. في الواقع, l’UPR a justifié son opposition à l’audit de la liste électorale par l’argument selon lequel cette question serait purement technique et qu’il faille donc laisser l’ANIP faire son travail sans interférences politiques.

من جانبه, tout en reprenant l’argumentaire de l’UPR, l’autre principal parti de la mouvance qu’est le Bloc Républicain affirme craindre d’une part un agenda caché derrière la démarche de l’opposition et, de l’autre, que le processus d’audit compromette la crédibilité des élections. Une conclusion paradoxale dans la mesure où l’audit par définition, a pour finalité d’apporter la transparence de la liste et de rassurer l’ensemble des acteurs.

De quoi ont peur l’UPR et le BR ?

Dans un pays marqué par l’inflation et par une gouvernance contestée dans plusieurs secteurs d’activité comme le secteur agricole, des élections transparentes risques bien de tourner au détriment de la mouvance présidentielle. Il est étonnant que les partis de la mouvance n’épousent pas l’avis favorable même du président de la République qui a donné sa parole aux partis de l’opposition leur assurant de son plein soutien à une démarche d’audit de la liste électorale. Même si le porte-parole du gouvernement a précisé que les discussions entre partis politiques ne concernent pas le gouvernement, les interrogations persistent toujours.

أفضل, avec la sortie du cadre de l’UPR qui dénonce des électeurs fictifs éventuellement présents sur le fichier électoral une fissure semble commencer à apparaître dans les rangs de la mouvance présidentielle. Ce qui dénote par ailleurs de la lutte d’influence au sein même de cette formation politique car le président de la République étant à son dernier mandat et ne pouvant plus se présenter constitutionnellement à la prochaine élection présidentielle.

داميان تولوميسي

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